L’eau n’est pas simplement un liquide neutre. Elle est vivante. Elle capte, mémorise, transmet. Sa structure moléculaire change au contact d’une intention, d’un mot, d’un son. Le Pr. Masaru Emoto a montré, à travers la cristallisation de l’eau, que des mots positifs génèrent des formes harmonieuses, tandis que les mots négatifs produisent des structures chaotiques. L’eau est sensible.

Purifier l’eau, ce n’est pas seulement la filtrer.

C’est la libérer de son « information » polluée. Certains parlent de « désinformer » l’eau — c’est-à-dire effacer les empreintes énergétiques négatives issues des traitements chimiques, des ondes, ou des manipulations industrielles. Comment ? En utilisant le magnétisme, des pierres comme le shungite, ou tout simplement… le silence. L’eau posée dans un récipient en verre, exposée à la pleine lune, peut être rechargée.

Vitaliser l’eau, par le vortex, c’est la rendre à nouveau dynamique.

L’eau, bien plus qu’un simple liquide, est un élément dynamique doté d’une énergie et d’une structure propres, particulièrement lorsqu’elle est « vivante », comme dans les rivières.

Dans les rivières et les cours d’eau naturels, l’eau n’est jamais stagnante. Elle tourbillonne, vibre et pulse, créant des mouvements en spirale connus sous le nom de vortex. Ce mouvement n’est pas aléatoire ; il est essentiel à la dynamisation de l’eau. Le vortex réorganise la structure moléculaire de l’eau, augmentant son potentiel énergétique et lui conférant des propriétés revitalisantes. Ce processus est souvent associé à une purification naturelle et à une amélioration de la qualité de l’eau.

L’Implosion selon Viktor Schauberger

Le naturaliste autrichien Viktor Schauberger (1885-1958) a été un observateur passionné des phénomènes naturels liés à l’eau. Il a développé des théories profondes sur le mouvement de l’eau, parlant d’« implosion » pour décrire cette force spiralée et centripète. Selon Schauberger, l’implosion est le principe fondamental que la nature utilise pour concentrer l’énergie, que ce soit dans la formation des tornades, la croissance des plantes ou, dans ce cas, la dynamisation de l’eau. Contrairement à l’explosion qui disperse l’énergie, l’implosion la rassemble, créant ainsi une forme d’énergie vitale et régénératrice. Il affirmait que l’eau vivante, lorsqu’elle est autorisée à s’écouler naturellement en formant des vortex, est capable de se purifier, de s’oxygéner et de retrouver sa force vitale originelle.

Dynamisation Artificielle de l’Eau

Inspirés par ces principes naturels, diverses méthodes ont été développées pour reproduire artificiellement la dynamisation de l’eau. Les carafes vortex sont conçues avec des formes spécifiques ou des mécanismes qui encouragent la formation de tourbillons lorsque l’eau est versée ou agitée. De même, l’utilisation de spirales en cuivre (ou d’autres matériaux) permet de guider l’eau dans des mouvements en vortex, reproduisant ainsi les conditions naturelles propices à sa revitalisation. Ces techniques visent à restructurer l’eau, à améliorer son oxygénation et, pour certains, à augmenter sa biodisponibilité et son énergie.

En somme, qu’elle soit naturelle ou induite, la création de vortex semble être une clé pour redonner à l’eau ses propriétés les plus bénéfiques, transformant un liquide inerte en une source d’énergie vibrante.Purifier l’Eau : Au-delà de la Filtration

Quand on parle de purifier l’eau, on pense souvent à des filtres qui retiennent les impuretés physiques, les produits chimiques ou les micro-organismes. Cependant, une perspective plus holistique suggère que l’eau, en tant que milieu sensible, peut également conserver des « informations » ou des « empreintes énergétiques » de ce qu’elle a traversé. Ces informations peuvent être considérées comme « polluées » ou « négatives » si elles proviennent de :

L’idée est de « désinformer » l’eau, c’est-à-dire d’effacer ces empreintes pour lui permettre de retrouver sa vitalité originelle et une structure énergétique harmonieuse. C’est comme remettre les compteurs à zéro pour son « mémoire » subtile.

Comment « Désinformer » et Recharger l’Eau ?

Plusieurs méthodes, souvent issues de traditions anciennes ou de recherches alternatives, sont proposées pour « désinformer » et recharger l’eau :

1. Le Magnétisme

L’utilisation d’aimants est une méthode reconnue pour influencer la structure de l’eau. Le champ magnétique est censé réaligner les molécules d’eau, rompant les « clusters » formés par les pollutions et favorisant une meilleure organisation moléculaire. Cela pourrait potentiellement aider l’eau à retrouver une structure plus « vivante » et énergétiquement neutre.

2. Les Pierres et Minéraux (comme la Shungite)

Certaines pierres sont réputées pour leurs propriétés purificatrices et harmonisantes. La shungite, par exemple, est une roche carbonée unique, souvent utilisée pour purifier l’eau et neutraliser les ondes électromagnétiques. On lui attribue la capacité d’absorber les toxines et les énergies négatives tout en restructurant l’eau. D’autres pierres, comme le quartz rose ou l’améthyste, sont utilisées pour dynamiser et « informer » positivement l’eau avec leurs vibrations spécifiques.

3. Le Silence et les Intentions

C’est peut-être la méthode la plus subtile et la plus ésotérique, mais elle est en lien avec l’idée de la mémoire de l’eau et l’influence de l’intention humaine. Placer de l’eau dans un environnement calme, silencieux, loin des perturbations sonores et électromagnétiques, permettrait à ses molécules de se réorganiser naturellement. L’intention humaine, focalisée et positive, dirigée vers l’eau, est également censée pouvoir « programmer » ou « re-programmer » l’eau avec des informations bénéfiques.

4. L’Exposition à la Lumière Lunaire (Pleine Lune)

Cette pratique ancestrale consiste à placer un récipient d’eau en verre à l’extérieur, exposé à la lumière directe de la pleine lune. La pleine lune est traditionnellement associée à une énergie douce, féminine, et de renouvellement. On croit que cette énergie lunaire peut imprégner l’eau, la purifier de ses empreintes négatives et la recharger avec des vibrations apaisantes et régénératrices. Il est souvent recommandé d’utiliser un récipient en verre pour éviter toute interaction chimique avec d’autres matériaux.

Ces approches soulignent une compréhension de l’eau qui dépasse sa simple composition chimique. Elles invitent à considérer l’eau comme un support d’information et d’énergie, capable d’être influencée par son environnement, qu’il soit physique, énergétique ou même intentionnel. C’est une invitation à redécouvrir la « vitalité » intrinsèque de l’eau.

Informer l’eau, en lui parlant…

Bien que les idées sur la dynamisation de l’eau par le vortex puissent sembler relever du domaine de l’ésotérisme, elles s’inscrivent en réalité dans une exploration plus large des effets du son et des vibrations sur la matière. Il s’agit d’une tentative de comprendre comment l’énergie et l’information peuvent influencer la structure et les propriétés de l’eau.

L’idée d’informer l’eau en lui parlant peut paraître ésotérique à première vue. Cependant, comme vous l’avez si bien dit, elle s’inscrit dans un cadre plus large et fascinant qui explore les effets du son et des vibrations sur la matière. Il s’agit de comprendre comment l’énergie et l’information peuvent profondément influencer la structure et les propriétés de l’eau.

L’Eau comme Support d’Information Vibratoire

L’hypothèse sous-jacente est que l’eau n’est pas un simple liquide inerte, mais qu’elle est capable de recevoir, stocker et même transmettre des informations vibratoires. Cela va au-delà de la composition chimique pour toucher à une dimension énergétique.

Le Son et les Vibrations

Nous savons que le son est une vibration, et que les vibrations ont un impact physique sur la matière. Des expériences de cymatique, par exemple, montrent comment des fréquences sonores spécifiques peuvent créer des motifs géométriques complexes dans des matériaux comme le sable ou l’eau. Si le son peut sculpter la matière visible, il est concevable qu’il puisse aussi influencer des structures plus subtiles, comme celles des molécules d’eau.

L’Intention et la Parole Humaine

C’est là que l’idée de « parler à l’eau » entre en jeu. La parole humaine n’est pas seulement un son ; elle véhicule aussi une intention, une émotion, une pensée. Dans cette perspective, l’intention et la vibration émotionnelle associée à nos mots pourraient être les « informations » que l’eau est capable d’enregistrer.

Des expériences, souvent popularisées par des chercheurs comme Masaru Emoto (avec ses travaux sur les cristaux d’eau exposés à différentes paroles ou musiques), suggèrent que l’eau réagirait à ces stimuli en formant des structures cristallines distinctes. Bien que ces travaux soient très controversés et ne soient pas reconnus par la science conventionnelle, ils illustrent cette conviction que l’eau est sensible à son environnement vibratoire, y compris nos pensées et nos paroles.

Prolongement de la « Mémoire de l’Eau »

Cette idée de « parler à l’eau » est une extension du concept de la « mémoire de l’eau ». Si l’eau peut retenir les fréquences des substances avec lesquelles elle a été en contact (même à des dilutions extrêmes, comme le suggéraient Benveniste et Montagnier, bien que controversés), il n’est pas déraisonnable, dans cette même logique, d’imaginer qu’elle puisse aussi « mémoriser » les fréquences vibratoires émises par la voix humaine et l’intention qui l’accompagne.

En résumé, l’acte de « parler à l’eau » est une pratique qui s’appuie sur la conviction que l’eau est un support d’information dynamique, capable d’être influencée par des énergies subtiles. C’est une invitation à considérer notre interaction avec l’eau sous un angle plus conscient et respectueux, reconnaissant son potentiel bien au-delà de sa fonction de simple solvant.

La Mémoire de l’Eau : Une Hypothèse Fascinante

Au cœur de cette réflexion se trouve la notion de « mémoire de l’eau« , une hypothèse qui a suscité à la fois un grand intérêt et de vives controverses au sein de la communauté scientifique. Des chercheurs comme Jacques Benveniste et plus récemment Luc Montagnier (prix Nobel de médecine pour ses travaux sur le SIDA) ont mené des études suggérant que l’eau pourrait retenir des « fréquences » ou des « informations » des substances avec lesquelles elle a été en contact, même après que ces substances aient été diluées à l’extrême.

L’expérience la plus célèbre de Benveniste, publiée dans Nature en 1988, prétendait que des dilutions très élevées d’anticorps pouvaient encore provoquer une réponse immunologique. Bien que ces travaux n’aient pas été reproduits de manière indépendante et aient été largement discrédités par la science mainstream, ils ont ouvert la porte à l’idée que l’eau n’est pas un simple solvant inerte, mais qu’elle pourrait avoir une capacité à structurer et à retenir des informations énergétiques. Luc Montagnier, quant à lui, a exploré des concepts similaires en lien avec la « transmission d’informations électromagnétiques » par l’eau, notamment en relation avec l’ADN.

L’Intention et les Vibrations : Programmer l’Eau ?

Si l’eau est capable de retenir des fréquences, une question intrigante émerge : peut-elle être « programmée » ou influencée par d’autres formes d’énergie et d’information ? C’est là qu’interviennent des concepts plus intangibles comme l’intention humaine, les mantras et les symboles sacrés.

Bien que ces concepts manquent de preuves scientifiques robustes selon les critères actuels de la recherche occidentale, ils reflètent une vision du monde où la matière et l’esprit sont profondément interconnectés, et où l’eau agit comme un médium sensible aux influences subtiles. Ces approches invitent à une réflexion sur la nature de l’eau au-delà de sa composition chimique, en explorant son potentiel en tant que support d’information et d’énergie.

Comment bien s’hydrater ?

Boire de l’eau oui, mais pas n’importe laquelle.
Boire une eau pure, faiblement minéralisée (résidu à sec < 100 mg/L), de préférence revitalisée, dynamisée, informée.
Mais aussi : boire lentement, par petites gorgées, en conscience.

L’Hydratation dans les Médecines Traditionnelles Chinoises (MTC) : Au-delà de la Quantité

Dans les Médecines Traditionnelles Chinoises (MTC), l’approche de l’hydratation est fondamentalement différente de celle de la médecine occidentale moderne, qui met souvent l’accent sur la quantité d’eau consommée. La MTC insiste moins sur le volume et bien plus sur la qualité et la manière de s’hydrater, considérant l’impact de l’eau sur l’équilibre énergétique du corps.

Le « Feu Digestif » et l’Eau Froide

Jean Pélissier, un spécialiste reconnu de la MTC, met en lumière un concept central : le « feu digestif », ou Jiao Moyen(rate et estomac), qui est essentiel à la transformation des aliments et des boissons en énergie (Qi) et en sang. Selon Pélissier, et comme il l’explique dans ses conférences disponibles sur son site, boire froid ou en grande quantité « éteint le feu digestif ».

Pourquoi ? Dans la MTC, le processus de digestion est un processus chaud. L’introduction d’une grande quantité d’eau froide force l’organisme à dépenser une énergie considérable pour réchauffer cette eau à la température corporelle avant de pouvoir la digérer et l’assimiler. Cette dépense énergétique affaiblit le « feu digestif », ce qui peut entraîner divers déséquilibres :

Boire Chaud et en Conscience : Les Recommandations de la MTC

En opposition à cette pratique occidentale, la MTC préconise de boire chaud et en conscience. Boire chaud (eau tiède, infusions, thés) permet de soutenir le « feu digestif » plutôt que de l’affaiblir. L’eau chaude est plus facilement assimilable et favorise une meilleure circulation du Qi et du sang.

La notion de « boire en conscience » implique de prêter attention aux signaux du corps, de boire par petites gorgées tout au long de la journée plutôt que de grandes quantités d’un coup, et d’éviter de boire pendant les repas pour ne pas diluer excessivement les sucs gastriques.

Le Thé Oolong : Un Secret de Longévité

Dans ce cadre, le thé Oolong est particulièrement recommandé en Chine. Ce thé semi-fermenté est réputé pour ses multiples propriétés :

Ce n’est pas un hasard si le thé Oolong est également cité comme l’un des secrets des centenaires d’Okinawa. Cette île japonaise est mondialement connue pour la longévité et la bonne santé de sa population. Si leur régime alimentaire est un facteur clé, leurs habitudes de consommation de thé chaud, y compris le Oolong, s’inscrivent parfaitement dans les principes de la MTC pour le soutien d’un système digestif robuste et la promotion d’une vitalité durable.

En somme, l’approche de l’hydratation en MTC nous invite à repenser notre rapport à l’eau, non pas comme une simple nécessité quantitative, mais comme un élément subtil dont la qualité et la température peuvent profondément influencer notre équilibre énergétique et notre bien-être général.

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Paul

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